Vaumas et Saint Reverien.

Anecdotes relevés dans les registres

Vaumas :

Morts à Vosma entre le 14.04.1595 et le 15.04.1598, tués par les loups :

Le fils de Jacques Ray, tué et massacré par les loups, tout dévoré (pas enterré).

Le fils et la …. .en la maison des Delaud, tués et mis à mort par les loups, à moitié dévorés.

Un serviteur et une fille chez Gabriel tués et mis à mort par les loups, une partie de leurs corps dévorée.

Un fils de Maiet Berjot, tué, mis à mort et tout dévoré (pas enterré).

Un serviteur de Pierre Pariset tué et mis à mort par les loups, son corps quasi tout dévoré.

Un fils de Toussaint Pariset tué et mis à mort, sa tête mangée et emportée.

Le fils de Jehan Du Perrin tué et mis à mort, le foye mangé et dévoré.

Un serviteur de la métérie Durie tué et mis à mort par les loups, une partie de son corps dévoré

Le fils de Toussaint Milhin tué par les loups et à moitié mangé ; le reste de son corps a esté apporté au cimetière de Vosma.

Le fils d’Anthoine Prost tué par les loups et quasi tout dévoré.

Un garçon et une fille tués et massacrés par les loups ; à moitié mangés.

Un serviteur de Jehan Chassenay tué et massacré par les loups, toutes ses antrailles mangées.

Un autre serviteur de Jehan Chassenay tué et mis à mort par les loups, à moitié mangé.

Une fille de Gabriel Turrauld tuée et massacrée par les loups, avait ses fesses et cuisses     mangées.

Le fils de Denys Colin tué par les loups.

Le fils de François De Valletan tué par les loups et quasi tout mangé ; ne restat que la teste.

Un serviteur de Philippon Main tué par les loups.

En l’année 1596, les loups ont commencé à tuer et dévorer le peuple et massacrer les corps humains et en ont tué, dévoré et mis à mort 27 dans la paroisse de Vosma, tant petits enfants que grands …

– Le 20.12.1603 ALLOTOT Anthoine : lequel par fortune est tombé dans l’eau dont il se seroit noyer estant ataing d’une maladie du hault mal.

– Le 07.10.1611 a esté presenté par devant moy Curé de Vosma, un fils dont j’ai interpellé Mr Loys BERNARD parrain et dame Jehanne VICTOUR marraine qui m’ont certifié toutes choses comme semblablement Me François BOURGUIGNON, notaire royal , Mathé MORILLON qui se sont soussignés avec moy, Curé dudit Vosma, et aultres et et moy, Curé dudit Vosma, ay fait le tout sur les saints fonds baptismaux dudit lieu à la réquisition desdits parrain et marraine, sans approuver que ledit enfant appartienne audit CHABOT ainsi seulement par ouy dire et par commun bruit ,et a esté nommé Loys par ledict Mr Loys BERNARD.

De me déclarer à qui appartenoict icelluy et qui estoit la charge de donner et nommer comme il s’appelleroit afin que mal ne mésadvinssat dudict enfant ,lesquels ont déclaré par ouy dire qu’il appartenoit à Mr Pierre CHABOT, Curé de Saint-Revérien, et à Jehanne JACQUELIN, sa mère, et ouy voyant l’attestation desdits parrain et marraine et aultres, parrain et marraine, j’ay comme Curé dudit Vosma, eulx requérant, administré le Saint Sacrement de baptême audit enfant , l’ay octroyé afin que nul n’en prétende de leur ignorance  DESSARD Curé.

– Le 31.05.1614  COUSTY François, à la diligence de ses frères utérins ; qui auroist esté occis d’un coup d’épée. Léonard et Ligier COUSTY qui a payé les fraicts faicts pour les dépens des chirurgiens.

– Le 12.09.1616 TAIN Jehan, surnommé LA MOTHE au pays de Bourgogne, en revenant de Madame Saincte Royne, dont il avoict accomply le voyage, pour estre hydropicqué et grandement affligé d’icelle maladie et de ce en paier la payne un nommé DE LA CROTTE, vicaire dudit PO qui m’a sercioré par sa lettre signée de luy en date du 13 du present moys.

– Le 27.10.1624 une croix a estée bénite, posée vers les TAINCTZ en un lieu auquel lieu et place n’en y avoict jamais, jamais heu, et ne scay moy, Curé de Vosma, ny toutes sortes de personnes, à quel subject le dict LIGIER DES PERIERS faict mettre icelle croix et à quelle intention laquelle croix ne pourra nuyre ny indicier ? à auculne personne pour limitter ou aultrement.

– Le 04.01.1658 mort de CHASSAGNE Jean, 30 ans, trouvé mort dans une crèche de la grange, cheux Thorchereaud ; il est à notter qu’il avait esté assassiné.

– Le 06.07.1658 mort de GOUBY Jean ,14ans, lequel s’est trouvé ….proche des Sauset d’un coup de….dans l’estomac supérieur.

– Le 12.09.1660 à l’issue de la messe paroissiale, bénédiction de la 4ème cloche nommée Marguerite, du campenie de l’église de Saint-Martin de Vosma ; a été montée en présence de la plus grande et saine partie des habitants. Ayant pouvoir de Monseigneur l’Evesque de Clermont.

– Le 30.11.1660 baptême d’un garçon qui avait esté trouvé dans les bois il y eust un an Vendredy et comme l’on a peu scavoir ny voir père ny mère, dans le doute qu’il fust baptisé, je l’ay baptisé sous condition. Parrain, Anthoine Thain, cheux lequel il est, Marraine Anne mariée à François Esbaupin.

– Le 08.03.1663 mort de BLAND Vidal : 72 ans, scieur de long, mort par accident d’un arbre qui luy avait cassé les deux jambes, le sian au bois des Fossés.

– Le 02.04.1664 mort de GRANGE Anthoine : sieur d’Auvergne, abattan un arbre fust tué.

– Le 07.02.1665 mort de MAGNIN Jean, mon fidèle serviteur et clerc. (plus un long texte détaillant leurs bonnes relations…)

– Le 08.12.1667 mort de PICOT Jacques : charpantier, qui ayant l’esprit troublé depuis 15 jours, a été assommé par Claude Marion.

– Le 04.02.1668 mariage de Jacques De LA SARRE et de Gilberte ROBIN sans publication de bans, ayant abusé d’icelle dont elle est grosse.

– Le 14.09.1679 mort de DRU Michel : mort causée par accident de feu qui a consummé tous leurs bastiments grange, maison, bestiaux, bled, foin, tramois et en est brulée une fille dont le cœur et entrailles ont esté mises dans le varset dudit Michel DRU que j’ay ensépulturé au cymetiere.

– Le 04.04.1680 mort de TURRAULD Nicollas : levé le corps de Nicollas Turrauld dans la rivière au-dessous des Ganches de Saligny ; il est à noter qu’il est tombé sous le pont Millin dans la rivière le dimanche 17 Mars ; il fust noyé sans qu’on l’aye peu trouvé…recherché qu’on eust faict par trois divers jours jusqu’au jour d’hyer qu’il parut, le niveau de la rivière estant baissée.

– Le 24.09.1687 mort de BOUGAIN  Benoit : mort d’un accident d’une chareste qui luy passa sur le corp et luy ecrasa la teste….demeurant aux Turiers de la Varenne.

– Le 30.03.1689 mort de CANTAT Pierre 7 ans, trouvé noyé dans une petite pescherie proche les Frost…

– Le 09.01.1690 mort de BOUGAIN François : mort par accident d’un arbre dont une branche en tombant l’a blessé à mort et ayant esté confessé, il trépasse un moment après….

– Le 09.01.1690 mort de SERUMOLE Anne, servante, de Préréal, ayant été confessée et receu le viatique est tombé dans le délire et s’est jettée la nuit dans le puys de la maison de………

– Le 08.02.1691 FABRE Marie 8 ans, s’est noyée dans la pécherie de la Font,  estant glissée dans icelle par accident.

– Le 27.09.1692 mort de GERMAIN Jean : 16 ans, pauvre  s’estant noié sous le pont de Chanbonnet.

Saint-Reverien :

– Le 24.06.1598 Benoist Perraut le Jeune, demeurant à Beauvoir, serviteur, en faisant baigner le cheval, il se mit dans l’estalier…

– Le 24.10.1625 accidentellement tomba une partye de la cheminée des Petits Bobots sur les mari, femme et trois enfants de Jacques Bassot, duquel accident Philippe Bassot, fils dudit Jacques, et de trois de La Crotte, un des autres fut aussi fort offensé ; le désastre fut veu et visé par moy, Curé soubsigné de ???, avec moy Pierre et Martin Bardin et d’accords Anthoine Perrault qui ont veu et visité le tout guest … au sommet de la teste.

Le 13.09.1671 mort subite d’une femme inconnue ; après avoir demeuré deux jours à la Ribaudière à Thiel, l’ayant visité sans luy avoir trouvé aucun coup, ny aucune chose que ce soit sinon son chapelet investi en sudite visite de Me Dechampfeu, advocat au Parlement, Sieur de la Ribaudière, je l’ay enterrée dans le cimetière … ayant appris des personnes où elle avait passée qu’elle priait bien Dieu.

– Le 25.03.1725 mort d’Anthoine SIGNORET, mendiant, 80ans, natif de Moulins, comme me l’a assuré Marie Maillot qui s’est dite sa femme.

– Le 07.05.1744 au cas que quelqu’un eut besoin de quelque acte soit mortuaire, baptistaire ou de mariage, ils pourront et se trouveront dans les actes de la paroisse de Vaumas, attendu que celle de Saint-Révérien ou pour mieux dire l’église de Saint-Révérien étant interdite faute de réparation pendant 9 ou 10 ans ; les baptêmes et enterrements se faisaient à la paroisse de Vaumas … en foy de quoi, j’ay signé Petitjean, Curé de Saint-Révérien.

 Le 02.11.1777  a été bénite la cloche nommée Claudine Elisabeth par Monsieur Jean MAUME, Curé de Vaumas, sur la permission du grand vicaire du diocèse sous sa date signée DAVID.

Parrain, Messire Gilbert Joseph Prévereau, écuyer Seigneur de Vaumas.

Marraine, Dame Claudine Elisabeth Farjonel, veuve de Monsieur Sébastien Gaulmin, Comte de Beauvoir, représentés par leur lieutenant, Sr Claude Lhéritier

                                                    Messire Philibert Simonin, Curé de Saint-Pourçain

                                                    Messire J-B Malley, vicaire de Vaumas

                                                    et lieutenant, Lazare Décamp

Cloche qui a été augmentée aux frais des propriétaires et habitants…

Relevés par Michel Labonne

 

Vaumas.

Evènements divers

Le 26 novembre 1782, Claude BLETRI, 58 ans, est tué par la chute d’un hêtre devant plusieurs personnes dans le bois de Salié ; mort sur l’avis du procureur d’office.

Le 9 octobre 1768, François ROY, 3 ans, est trouvé noyé près la rivière, auprès de la locaterie du Saucet ; levée faite par Messieurs les Officiers des Basses Marches.

Le 28 juillet 1732, après la messe chantée solennellement par  Monseigneur Mathieu VEYRAND, curé de Châtelperron, accompagné de Mr Jacque ROGIER, curé de Marseigne, de Mr Louis PETITJEAN, curé de Saint Reveriend, de Mr François DESPERIER, diacre de Clermont, et moy, curé de Vomas, nous nous sommes transportés à la réquisition de Monsieur Claude BAYON, bourgeois et Demoiselle Louise BURAND, sa femme, habitants de cette paroisse pour procéder à la bénédiction de la maison qu’il a fait bastir dans le bourg de Vosma, ce que nous avons fait, avec toutes les solennités possibles pour répondre à ses pieux desseins, priant le Seigneur de la préserver d’accident, luy et toute sa famille au nombre de quatorze enfants tous vivants, en ayant eu seize.

Fait en présence de Mre Charles TROCHEREAU, Sieur de la Berlière, son beau-frère Antoine  TROCHEREAU, bourgeois, qui ont signé avec nous.

En 1708, décès de François RAY, au château du Riau, atteint d’idropisie …. longues justifications pour qu’il n’y ait plus de scandale dans la paroisse.

Le 13 août 1724, la grande cloche a été bénite par permission de Mr DELAIRE, vicaire général, Mr Pierre PINON curé de Saint-Pourçain sur Besbre, Mr Louis PETITJEAN curé de Saint-Réveriend, Mr Mathieu VEYRAND curé de Châtelperron ;

N’ayant pu venir, ont eu pour lieutenants :

Mr André ??  conseiller secrétaire du Roy, maison et couronne de France, Seigneur de Vaumas et autres places,

Me HDP Marie Elisabeth, Comtesse palatine de Dio, Marquise de Montperroux, Comtesse d’Anlezy, baronne de Saint-Palize, Dame de Vaux, baronne de Saligny, et plusieurs autres belles terres,

Mr Michel RODOYER, intendant de Madame la Comtesse d’Anlezy,

Demoiselle Colette BEAUSEIN,

Et a nommé la cloche du nom de « Comtesse d’Anlezy ».

Le 14 décembre 1722, Estienne DEJOUX s’est tué en tombant dans la roue du moulin du Charnay.

Le 3 juin 1709, la grande cloche a été bénite, assisté par Messieurs les Vénérables Curés

            Messire Antoine DAVID, de Thionne

            Messire Pierre PINON, de Saint-Pourçain sur Besbre

Parrain : Noble François AMYOT d’ALBIGNY, baron de Bully, Chavailler seigneur d’Albigny, Vaumas, etc….commissaire departy par le Roy pour l’exécution de ses ordres dans les provinces LIONNOIS,FORETS,BAUJOLOIS.

Marraine : Dame Françoise DE COUBLADOUX, douairière des Gouttes et Dame des Fougis, absente et remplacée par Demoiselle Louise BURAND

Le 8 juillet 1719,  a été bénitte la deuxième cloche et montée le mesme jour au clocher

assisté de Mr Pierre PINON, curé de Saint-Pourçain sur Besbre,

de Mr Jacques ROGIER, diacre et curé de Marseigne,

            de M Charles TROCHEREAU, Sieur de la Berlière

            parrain : M Pierre ROGIER, Sieur du Cruzet,

            marraine : Demoiselle Jeanne BURAND.

Le 28 septembre 1718, décès de BALU Jean dit LA POINTE, charbonnier, qui s’est tué en tombant du chatenier.

Le 19 janvier 1712, mariage de Martin DENAUD et de Françoise SALARD, veuve de Pierre DU PESSAUX qui est décédé le 23 septembre 1702 à l’hôpital de Tournay, servant dans les troupes du Roy, très chrestien de France. Extrait mortuaire certifié par Marc Antoine REMUE, prestre, vicaire général de Monseigneur l’évêque de Tournay, frère du défunt.

Le 2 mars 1710, PETETOT  a été trouvée tuée par des voleurs sur la chaussée de l’estang du Charnay ; levée par MATHERAT notaire royal, et un des justiciers de la justice des Gouttes.

Le 4 juillet 1708, jour de la Translation de Saint-Martin, patron de cette paroisse, a esté bénite après Vespres, une croix de bois que nous avons fait faire, et a esté eslevée et mise ce jour là dans le cimetière…….assisté de tout le peuple qui estoit à Vespres.

Transmis par Clotilde Thuret et Michel Ameuw

Vaumas.

Cheptel le 1er Mars 1753.

« Par devant le notaire Royal soussigné resident a jaligny et les temoins cy apres nommés furent present Sieur françois chavignier sieur de champfeu et sous son authorité damoiselle claudine magnet son épouse qu’il authorise pour l’effet et validité des présentes demeurants en la parroisse de St Reverien lesquels de leur gré et libre volonté ont reconnu et confessé avoir en leur garde et puissance et tenir à titre de cheptel de louis bonnet meunier demeurant au Moulin Charnat parroisse de Vosmas cy present et acceptant pour la somme de cinq cent livres de bestiaux qui consistent en deux vaches garnies de double garniture, deux taureaux, une jument garnie, tous lesquels bestiaux y compris quatre bœufs ayant eté achepté par ledit bonnet acceptant et sont actuellement dans la basse cour dudit sieur de Champfeu et domaine a lui appartenant pour aider a faire la culture des terres dudit Sieur de Champfeu d’autant que ceux qui y étoient cy devant sont tous péris dans le tems de la maladie epidemique, lesquels bestiaux ledit Sieur de Champfeu a promis et promet faire soigner, paitre et hiverner, et lesquels il ne pourra vendre ni engager, sans le bon vouloir et participation dudit bonnet acceptant qui se reserve la suite en cas de deplacement, et le dit sieur de champfeu et la ditte damoiselle son épouse ont promis les rendre d’huy des présentes en trois ans, a dire d’expert ou d’amis commun, et d’autant que les dits bestiaux produisent et font un profit au dit confessant, ledit sieur de champfeu et sous son authorité laditte damoiselle Magnet son épouse sero,t tenu et promettent en payer l’interest suivant l’ordonnance jusques à le rendue des dits bestiaux, a compter dès cejourd’huy, lequel interest de vingt cinq livres par chacun an pour eviter le partage dudit revenu que ledit bonnet luy abandonne au moyen dudit interest, de quoy les parties sont convenues car ainsy l’ont voulu les parties et en sont demeuré daccord et a l’éxecution des presentes, onr les dits de Champfeu et la ditte damoiselle Magnet son épouse sous son authorité solidairement l’un pour l’autre un seul pour le tout sans discussion obligé tous et un chacun leurs biens meubles et immeubles presents et avenir soumis sous toute Cour Royale et autre. Fait et passé audit lieu de Champfeu ditte parroisse de St Reverien apres midi le premier jour de mars mil sept cent cinquane trois en présence de françois bruron maitre serrurier de la ville de jaligny qui a avec toutes les parties et moi notaire royl signé et encore présents de benoit jeandon journalier de la paroisse de St pourçain sur besbre qui a déclaré ne scavoir signer de ce enquis et fait controllé  et donnera ledit sieur de champfeu expedition des présentes a ses frais au dit bonnet en parchemin ».

Orthographe d’origine respectée

AD 03-3 E 6367, transmis par Michel Ameuw

Vaumas.

Décès à Lille le 16 août 1870 de Benoit Allaix, soldat au 75ème de ligne « mort des suites de blessures reçues à la bataille de Gravelotte ». Né le 15 septembre 1844 à St Léon, fils de Jean Allaix et de Louise Blanc.

Décès à l’ambulance St Férréol de Besançon le 7 décembre 1870 de Jacques Despériaux, soldat au 16ème bataillon de chasseurs à pied, 6ème compagnie. Fils de Pierre Besançon et de Claudine Renaud.

Décès à l’hôpital de Fleurier en Suisse le 13 février 1871, où il était entré le 3 février à l’ambulance de la Division de cavalerie du 18ème corps, de Jean Marie Gouninet, soldat de la Garde nationale mobile, 3ème bataillon. Fils de Varthélemy Gouninet et de Marie Loursaud.

Transmis par Michel Ameuw